8. Les mays mouillés

Toute l’eau de l’incendie, 8.

Texte complet

C’était dans un château peut-être, des salles comme d’un musée, avec de grandes toiles sombres, et bleues, et rouges, accrochées aux murs, des toiles comme classiques, et elles s’écaillaient, elles s’écroûtaient, présentaient au regard leur peinture fendue. Les toiles étaient crevées, éclatées, c’étaient les mays mouillés par l’eau de l’incendie, le rêve l’énonçait, toute l’eau de l’incendie.

À partir du 1er décembre 2024, pendant un mois et quelques jours, un chapitre de ce texte est ajouté quotidiennement, sauf le mercredi. Les abonnés reçoivent les publications par e-mail.

L’œuvre entière sera disponible progressivement sur la page « Toute l’eau de l’incendie« . Comme l’ensemble de ce site, elle est déposée et protégée par le droit d’auteur.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *