Catégorie : Hier à pareille heure

  • Hier

    Hier

    Hier c’est déjà loin. L’ordinaire des jours a repris le dessus. Pour me souvenir de Naples, je dois gratter la surface du quotidien. La mémoire est une affaire de fouille et d’enfouissement, de creusement, de sédimentation, de recouvrement. Je ne sais rien des modalités physiologiques d’encodage des informations par le cerveau ; ce phénomène me fascine,…

  • À pareille heure

    À pareille heure

    Hier à pareille heure Je lavais une salade et préparais ma gamelle et rassemblais le verre à recycler, avant de partir au travail. Jeudi à pareille heure J’étais devant l’ordinateur à travailler sur l’Italie, ou la Hollande, moins fatiguée que la veille. Il fallait avancer, je prendrais l’après-midi pour aller au Terrasses du port avec…

  • Hier

    Hier

    Hier à pareille heure J’embrasse une amie plus vue depuis dix ans. Je savais les épreuves traversées. Une partie. Mercredi à pareille heure Nous n’étions finalement pas sortis, mais j’avais gardé ma jupe et mon collier. Mardi à pareille heure Dans le bus nocturne, je fermai les yeux sans parvenir à m’assoupir. Cela faisait sept…

  • À pareille heure

    À pareille heure

    Hier à pareille heure Je faisais ce que je pouvais pour me concentrer devant mon ordinateur Mardi à pareille heure Dans la salle d’embarquement de l’aéroport de Naples, je savourais le goût du dernier bon café que je venais de prendre avant longtemps. Cela ce confirme aujourd’hui, au comptoir des Terrasse du port. Un bon…

  • Hier

    Hier

    Hier à pareille heure J’écrivais un mail à un correspondant en Hollande Mardi à pareille heure Sortant des catacombes de San Gennaro par la basilique du même nom, je me trouvai en plein quartier de la Sanità. Lundi à pareille heure La salle dite des barons du Castel Nuovo sert au conseil municipal de Naples….

  • À pareille heure

    À pareille heure

    Hier à pareille heure Je montais la via Santa Maria di Costantinopoli, j’apercevais au bout l’angle du musée, sa couleur bourbonienne, je m’arrêtais prendre des billets de bus chez un tabacchaio et j’allais attendre l’un des numéros (le 168, ou le 178, ou le 204, finalement ce fut le C 63) qui nous monterait, par…